Dans mes pensées (Pv Caporal)

Je me baladais sur les terres Sang Pur pensant à une nouvelle bataille ayant lieu dans peu de temps. J'était seul au milieu de cette forêt noire et lugubre. Je n'avait aucune peur puisque je connaisais aussi bien territoire Sang Pur que Maïa. Voila pluieurs heures que je tournais dans la forêt et la fatigue se fit sentir. Je me couchais pour me reposer mais sans aucune intention de dormir.

{Lol, en ce moment on fait des PVs pour moi, je suis pas au courant xD
Même si celui là était en projet…^^}

Caporal se romenais lui aussi dans la forêt,
pour connaître un peu mieux son territoire.
Mais il sentit l'odeur d'un loup,
une odeur étrange…
Alor, encore plus méfiant que d'habitude,
il alla le voir en posa sa question de toujours.
"Clan ?"

Je me relevais et le regardais droit dans les yeux. Je n'avait pas envie de chercher loin et je lui répondit clairement et simplement.
- Maïa. Peut importe ton clan je ne cherche le combat.

Il rit sarcastiquement.
"Un Maïa alors hein ?
Et pourquoi un maïa se ermet d'être ici ?"
Il grogna un peu
"Et si tu ne cherche pas le combat,
tu ne devrais pas trainer sur les terres de ma meute !
Tu n'as rien à faire là !"

Je soupira par les dires du loup. Toujour le même disque ces Sang Pur.
- Tu dois certainement profiter aussi de marcher en territoire Maïa donc tout est égale. Je fait ce qu'il me plait et de toute façon je suis seul, je ne vient pas attaquer à plusieurs. En quoi cela te géne t'il ? Non ne répond pas j'ai la réponse.
J'en avait assez que chaque rencontre avec l'ennemis ce passe toujour ainsi et je voulais vite en finir.

"Les maïa on volé nos terres, c'est différent.
Et puis non je n'ai pas eu la joie de marcher sur 'vos' terres
donc nous ne sommes pas égaux.
Un maïa et un Pur ne sont jamais égaux…
Et ça me gène car c'est chez ma meute ici
donc c'est normal que tu ne sois pas la bienvenue."
Il grognait toujours.
Pour qui se prenait-il ?
A venir ici, et en plus, seul…

J'était repartis dans mon blabla habituelle et je n'avait aucune crainte du loup.
- Vous avez voulus l'indépendance en rejetant une personne différente ainsi que ceux qui ne sont pas Pur. Vous voila maintenant avec un adversaire et je trouve ça idiot. D'autre part si tu n'a jamais mis les pattes chez les Maïa, c'est que tu es nouveau et c'est triste que tu réagisse ainsi.

"Vous avez votre version des faits, on a la notre.
Ca ne sert à rien de ma raconter la votre,
je la connais, seulement je ne regarde que par la mienne.
Et c'est dommage si tu trouve ça triste mais
que je sois nouveau c'est la guerre et c'est nos terre !
Que cette guerre soit déclanché par une meute
ou par l'atre peu importe, le fait est qu'elle existe
et que tu n'aurait pas du aller chez l'ennemi.
Alors je te conseil de t'en aller,
très vite…"
Il intensifia son grognement et retroussa les babines,
en ce donnant un air encore plus menaçant.
Il avait interrêt à partir vite,
il le laisserait en vie au moins…
Et puis tout ce blabla il s'en fichait,
à quoi servait de parler avec l'ennemi
puisque de toute façon seul le tuer était le but.

J'étais près à me défendre en cas d'attaque mais je ne me metta pas en position. J'aimais bien provoqué et je continuais ma discussion en restant toujour aussi calme.
- Tu parles bien, le problème c'est que les Terres ne sont pas à vous personellement. Que se soit nous Maïa ou les solitaires, nous marchons ou on le souhaite donc ces Terres sont en parties libres. Vous ne parviendrais jamais à interdire l'accé aux étrangers.
Défendant mes idées je me mis à hérisser mes poils et montrer mes crocs sans grogner.
- Au fait, ce n'est pas toi qui me fera partir. Provocation ou pas.

"C'est parce que l'accès ne peut être fermé
que l'on peut avoir l'occasion de se battre.
Donc je considère que si on va chez l'ennemi
sans raison importante,
on cherche à se battre."
Il se raidit complétement et hérissa les poils à son tour.
"Et crois-tu vraiment se qe tu dis ?
Enfin c'est possible, si je te tue,
je n'irai pas déplacer ta dépouille chez les tiens.
Donc en effet je ne t'aurais pas fait partir,
mais je doute que se soit un avenir que tu souhaites…"

Encore un Pur qui se prenait pour les rois de la terre. Il m'agaçait sérieusement et je mis une patte arrière légerement en arrière me préparant à son attaque qu'il me semblais inévitable. Je bomba le torse.
- Je préfère mourir en me battant que être lâche en fuyant l'ennemis. Que je meurs ou pas tu repartiras pas sans trace de ma part qui t'auront un minimum affaiblis.

S'il cherchait à se battre, tant pis pour lui.

Il l'aurait prévenu, il ne pourrais

en vouloir qu'à lui-même en mourrant…
"Les blessures guérissent,
la mort non…
Mais après tout, c'est ton choix,
tu l'aura cherché…"
Sur ce, il sauta à la gorge de son adversaire,
en profitant qu'il bombait le torse pour la lui saisir
aiséement et à pleines dents.

Un moment d'inatention comme je venais de le faire pouvais être fatale. J'avais maintenant l'habitude d'être saisi à la gorge et je devais me dégager rapidement. Je me laissa tomber au sol et lui donna avec mes deux pattes de derière un coup violent sur sa gorge qui lui fit lâcher prise. Je me releva rapidement pour lui saisir à mon tour son museau.

Il commença par réflexe à secouer la tête,
puis, tout en continuant,
il griffait profondément la gorge de Blood
de ses patte avants,
et son ventre de ses pattes arrière.
Le sang teintait de plus en plus ses griffes.

Je tenta quelque chose de risquer mais qui pouvais me donner si je réussisais un coup d'avance. Je doubla la force de ma morsure et me laissa tomber à nouveau sans le lâcher pour le faire chuter. Cela fait il se retrouvais sur le dos et j'en profita pour lui poser mes deux pattes de devant sur sa gorge pour l'étouffé sans jamais avoir lâcher son museau donc le sang jaillisait dans ma gorge. J'oublia tout de même que je me touvait au dessus de lui, ventre découvert mais je ne le lâcherais pas.

Sa respiration se fit haletante,
mais il ne le montra pas.
D'un geste résigné il propulsa Blood
de ses pattes arrières,
mais comme il mordait toujours son museau à ce moment,
une longue trainée de morsure resta.
Le sang s'écoulait goutte à goutte au sol,
mais il ne le remarqua même pas.
Le regard chargé de haine,
il fonça doit sur son adversaire,
le renversant, et commença à déchiqueter
ses pattes en les saisissant et secouant fortement.

Par malheur, j'étais mal retombé et commençais à sentir une certaine faiblesse mais je ne voulais pas abandonné maintenant bien que j'avais sous estimé mon adversaire. Ne pouvant trop me relever je le laissa faire et attenda que ses propres pattes soit à porter de mes crocs. Quand le moment venu arrivait, je le surpris en le mordant violament une patte qui fit un lèger craquement. Je pouvais lui brisser mais sa résistance ne me laissais pas cette occasion.

Il devait comprendre maintenant, que tant qu'il serait là,
aucun maïa ne se baladera tranquillement sur ces terres.
Il devrait d'abord lui passer dessus pour ça,
ce qui n'était pas chose aisée…
Puis il sentit et entendit sa patte avant craquer.
Mais il débattit férocement sa patte
pour l'empécher de faire quoi que se soit d'otre avec.
Puis, à la seconde même, profitant qu'il ai
amené son cou nu vers sa patte,
il bessa la tête il referma fortement la machoîre sur le cou de l'autre.

Je ne me battait pas pour la guerre mais pour me défendre et une image de ma famille surgie de nul part quand le loup me fit un choc dans le cou. Un peu faible par le manque d'entrainement et de laisser aller, je n'avait pas envis d'aller plus loin même si ce loup désirait ma mort dans l'immediat. Je ne lui resista plus, ferma les yeux et attendais. J'étais vaincu et je n'aimais pas vraiment ça mais ma famille comptait plus qu'un simple combat de défense.

Il remarqua vite que le loup ne se débattait plus.
Et s'il ne se défendait pas, ce n'était plus amusant…
…et puis ce serais un combat sans acun mérite ni honeur.
Alors il relacha son emprise et recula légèrment,
touours méfiant si c'était un piège.
Il demanda simplement s'une voix septique.
"Alors pourquoi t'arrêtes-tu ?"

Je pouvais évidemment jouer la feinte mais j'était épuissé et je ne voulais pas me risquer plus bien qu'un pur en moin aurais été bénéfique. J'ouvris les yeux et ne répondis pas à sa question mais en lui retournant celle ci.

- Et toi ? Sa à du être trop simple mais si je me défend plus c'est qu'il y'a une raison mais pourquoi ne pas me supprimer ? Un Maïa en moins pourrais t'avancer non ?.

Je jouais gros par mes paroles mais si il devait suivre mon indication je ne lui laisserais pas ce plaisir. Je voulais surtout voir ci il avait la même idée que moi en tête.

Il s'assit fièrement.
"Oui, bien sûr ça pourrait m'avancer.
Mais il n'y à que honte à tuer quelqu'un à terre,
qu ne se défend même plus.
C'est une question d'honneur personnel simplement…"
Mais il se redonna une mine aggresive.
"Mais n'oublie pas que tu es toujours qhez moi ici,
et que c'est la cause de notre combat…"

Je me levais durement et me léchais les pattes.

- Je vois pas pourquoi sa serait une honte. Tu donne presque une technique si tout le monde réagissais comme toi.

Le sang de ma gorge coulait sur le sol, le sol des Purs. Il signifiait une victoire pour lui mais pour moi la fierté d'avoir souillé leur terre. Je mis une patte dans le sang et en fit des trainées pour l'étalé sur une plus grande surface.

- Je ne serais jamais chez toi mais chez vous. Je retourne de l'autre côté du ruisseau vaincu mais ce combat auras permit de mieux ce connaitre. Ne crois pas que je ne reviendrais pas. Tu ne pourras pas toujour me surveiller.

Sur ses mots, je partis en boitant mais sans me presser de quitter les terres sang purs.

"Oui, il aurait permis de mieux ce connaître,
on sait à quoi s'attendre…
Et en effet je ne pourrais toujours te surveiller.
Mais alors si tu reviens un our,
c'e serait dans ton interrêt
de faire en sorte de ne pas recroiser ma route?
Car là, je ne t'épargnerai pas,
considérant pas ton action répétée,
que tu l'aura cherché !"
Il grogna quand le maïa partie.
Il avait toujours répugné ces êtres.

Trop loin de lui je ne compris pas la fin de sa phrase mais je la devinais âr instinct. Je continuais ma route de façon à être hors de vue. J'était paris sans trop montrer mes douleurs mais en marchant mes pattes me faisait enormement souffrir...

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