Souvenirs resortis {PV Max}

Caporal avait faim,
il était venu pour chasser.
Il remarqua un troupeau d'élans.
Il se précipita et les dispersa,
prenant en chasse une femelle
qui boitillait.
Il lui sauta à la gorge,
mais celle-ci se secoua
l'expulsa.
Il refit ainsi quatre fois
avant que la femelle,
saignant et épuisée
s'éffondre au sol.
Il n'avait par chance rien eu
et dévora à moitié son repas.
Mais il entendit un bruit
et sentit une odeur…familière…

Non loin du troupeau d'élan, j'était assis sur un rocher tranquille et seul. Seul ? Pas certains en voyant le troupeau subitement détalé. Je pensais à un loup mais avec la poussière se soulevant je ne vit rien.

Il ne reconnu pas tout de suite l'odeur
et vu la poussière abondante
ne vit rien.
Alors il s'approcha.
Et en même temps qu'il reconnu l'odeur,
il reconnu la silhouette.
*Non, c'est pas possible !
Un…un homme !*
Il resta figé,
La poussière se dissipant
il fixait sans broncher l'humain des yeux.

J'attendais que la poussière se dissipe quand elle laissa apparaitre un peu plus loin un loup, je ne voyais pas très bien mais je me disais que à peine j'était sortis d'une mauvaise rencontre que j'allais peut être en voir une autre. Je ne l'espèra pas mais tout comme le loup je ne bougea pas d'un pouce, seul le vent soufflait.

Très hésitant,
il s'approcha un peu
poils hérissés
mais sans paraître agressif.
Il n'avait plus vu d'homme depuis
peu de temps encore.
Mais pensait avaoir quittait définitivement son passé,
qu'il semblait le rattrapper.

Celui ci s'approcha et je n'allait pas
le cherchait. Si il voulais venir je le laissait faire. Je ne le vit
pas encore parfaitement mais il me semblait avoir quelque chose autour
du coup, un cllier peut être. Je réfléchie un instant sans bouger, un
collier peut être mais qui lui aurait mis une chose pareil ici.

Il s'approcha encore, curieux.
Mais que fesait cet humain ici ?
Il huma l'air.
Cet humain n'avait pas la même odeur
que ceux qu'il avait connu avant.
Il n'avaitpas vraiment peur de l'humain,
mais il le craignait comme la peste
Et s'en méfiait énormément.
Pourtant il se rapprochait
encore.

Je chercha à comprendre pourquoi il chercha mon odeur, je sentait l'humain mais quesque j'avais de si particulier. Je comtempla le loup sans geste, il avait une allure imposante mais il m'avait l'air craintif. Je regarda son cou et compris qu'il sagissait d'une médaille mais médaille de quoi. Je regardait la couleur du ruban qui ne me disait rien.

Il était maintenant
près de l'homme.
Il trouvait ses habit étrange,
et puis il n'avait rien pour se défendre !
Pourquoi n'avait-il ni uniforme,
ni arme, et était-il seul ici ?
Il était vraiment complétement
différent à tous ceux quil avait vu.

Il n'était qu'a deux métres de moi et je voyait au fond de lui qu'il n'allait pas m'attaqué. Je garda méfiance mais j'aimais bien tenté une approche. Je lui tenda ma main blessé des précédentes rencontres en lui demander d'approcher.
- Vient je ne te ferais aucun mal.

Il n'était pas si différent àprès tout.
Lui aussi ordonnait,
comme les autres.
Pourtant, une note rassurante
apparaissait dans sa voix.
Lui ne connaissait que les voix durs et menaçantes.
Mais il fit comme il avait toujours fait avec les hommes,
il obéit.
Il s'approcha de l'homme en se dépéchant,
et reniffla la main de l'homme.

Je ne compris plus rien, à croire qu'il avait compris ce que je lui avait dis. Je me pencha sur sa fameuse médaille qui m'intriguais toujour autant. J'y vit en premier lieu une tête de loup avec une insciption en dessous. Je put y lire "Base militaire de..." le nom était effacé. Je regarda le loup dans les yeux guettant ses gestes puis retourna la médaille. Un nom, un numéro de matricule, la section et la fonction. Je déchiffra tout ce que je voyais et compris que ce loup avait était soumis par les homme. Je lâcha l'objet et le regarda à nouveau.
- Caporal ? C'est ton nom ?

Quand il prit la médaille
Caporal le laissa faire
Il avait dit son nom.
Il le savait, il était habitué
à la parole des hommes
Alors il poussa un grand hurlement
Puis fixa l'homme de ses yeux noirs

Je fit un bon en l'entendant hurler. J'était certains qu'il avait été entrainé comme un militaire depuis tout petit. Il aurait appris la haine et m'aurait déjà sauté dessus si il avait était enlevé à l'âge adulte. Quand il finit d'hurler je plaça doucement ma main sur l'épaisse fourrure de sa tête et le caressa lentemant jetantde temps à autre un oeil sur ma main puis dans les yeux du loup.

Il rentra un peu sa tête,
la baissant.
Mais qu'est-ce qu'il faisait ?
Au début il cru qu'il allait le frapper,
mais au contraire il…
lui frotter la tête.
C'était étrange…
aucun homme ne lui avait jamais fait.
On aurait dit une autre espèce d'homme,
Pourtant c'en était bien un.
Il essayait de comprendre,
comprendre l'homme et se qu'il voulait,
le contemplant sous tous les angles.

Il devait vraiment de demander ce qu'il lui arrivait. On à du le battre et voila que moi je ne donne pas d'ordre ou autre, je fait tout le contraire et je voyait bien que sa le destabilisait.Je voulais vérifier mes dires mais ce n'était pas la prmière fois que je rencontrais un loup ayant fréquenté l'homme. Je lui donna un ordre simple sans crier regardant si il allait s'éxécuter.
- Coucher.

Il regarda l'homme,
il lui parla de nouveau.
Lui demandant de se coucher.
Il s'exécuta à nouveau,
la tête levée vers celle
de l'humain.
Il était plus abittué
à une attitude de se genre.
Et bizarrement,
celle d'avant le perturbait énormément.
Il se demandait si l'homme
voudrait le ramener à son ancienne deeure.
Mais il n'en avait pas envie,
plus envie…

Ce loup avait du fuir et sans savoir si la base militaire existait toujour, je ne voulais pas qu'on le retrouve bien qu'à son allure il devait être facilement reconnaisable. Il devait avoir sa liberté et sa médaille pour moi était comme si il n'était pas libre. Je lui demanda de se lever sans difficulter et retira doucement sa médaille du cou.

Mais que faisait-il ?
Il lui enlevait le seul souvenir
de son passé qu'il lui restait!
Son passé était douloureux peut-être,
mais il ne le regrettait en rien,
ou presque rien.
Et il ne voulait pas qu'on lui enlève
ce seul souvenir.
Alors il secoua la tête,
pour empêcher l'humain,
et lui grogna un bref moment dessus.
Mais il regretta aussitôt son geste,
et s'appréttant à être puni pour ça,
il se baissa légèrement
et couina.

Je lacha l'objet quand il se mit à grogner puis le regarda quand il se baissa.
- Quesque tu fait ?
Je repris la médaille et l'enleva cette fois belle et bien. Le loup ne bougeait pas mais je n'aimais pas l'air avec lequelle il me regardait. Je regarda à nouveau cette décoration, elle avait comme un double fond. Essayant de trouver quelque chose le fond tomba à terre avec un bout de papier. Je rassembla la médaille et lisa le papier. J'y découvris la date ainsi que l'endroit de la capture de ce loup. Je garda le papier dans ma poche et réfléchissa regardant droit devant moi.

Il le regarda faire.
Mais qu'est-ce qu'il faisait
à démonter sa médaille ?
C'était comme s'il démontait son passé.
Il la tripotait et Caporal
voulait la récupérer.
Alors il la lui réclama
en la fixa des yeux
et en posant une patte
sur les jambes de l'homme,
appréhendant sa réaction.

Je retounais ma tête sur le loup cherchant ce qu'il me voulais. Je regardais sa médaille resté sur mes jambes.
- C'est cette breloque que tu veut ? Tu est libre maintenant.
Je voyais au fond de ses yeux une étrange lueur me supliant de lui rendre, il s'agissait de son passé et je ne pouvais pas lui enlever. D'ailleur, sa lui donnait une touche personnelle. Je remis sa médaille délicatement puis passa ma main doucement sur sa tête.

Il était rassuré,
sans vraiment connaître la raison.
Il enleva sa patte,
et pris un air fier en retrouvant sa médaille.
Mais quand l'humain
le carressa à nouveau,
il ne savait toujours pas comment réagir,
cet homme,
ça ne pouvait pas être un soldat,
Mais c'était quoi alors ?
Il fit une chose qu'il n'avait
alors jamais faite,
en présence humaine :
il ferma les yeux, rassuré.
Bien qu'il restait craintif comme toujours
envers la seule chose qu'il craignait,
il s'était légèremet détendu.

Il fermit lentement les yeux et pour moi c'était une façon de ne pas le prendre comme il la vaicu auparavant. Je pensais soudainement à m'en servir sans mal mais en cas d'attaque. Ma bulle explosa et repis ma vraie nature. Je ne devais pas faire ça, je n'avais pas le droit de le commander ou de le mettre en danger. Je le regardais attendris et m'accroupis devant lui.

Il le fixa un moment,
sans bouger,
à l'observer et se demandant
à quoi il pensait.
Puis il vit plus loins
les élans, en trains de se regrouper,
après la dispertion de tout à l'heure.
Caporal repensa à son élan tué,
et ayant faim, alla en remanger encore un peu,
toujours sans quitter l'humain des yeux.

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