C'est quoi cette chose ?(Pv Max)

Sieg s'était (encore^^) échappé. Malgré les remontrances de Blood il n'avait pas pu s'en empêcher. C'était plus fort que lui. Mais cette fois-ci le louveteau faisait attention, dès qu'il entendait un bruit susppect il bindissait dans les buissosn, ses petits crocs sortis, prêts à mordre quiconque voudrait l'embêter.

J'étais au même moment en plein centre du verger.
M'occupant de mes jambes que j'avais écorchés par les ronces sous la neige.
Puis je me releva une fois les écratinures nettoyer avec se que je pouvais.
Admirant le verger sans fruit, recouvert de l'épaisse couche de neige.

Le petit louveteau trottait avec fierté sur l'épaisse couche de neige. Il poussait des glapissements indignés lorsque la neige plus mince en certains endroits s'effondrait sous son poids.C'est alors qu'il aperçut une grande chose, gigantesque. Le louveteau émit quelques grognements puis terrorisé devant un tel monstre courrut se cacher derrière un buisson, se faisant le plus petit possible.

J'entendais tout, glapissements et grognement mais ne vit rien.
Par contre je n'avais aucun doute sur la provenance d'un louveteaux.
Voila un moment que j'en avait pas vu et je me réjouissais d'avance.
Je me mis à le chercher, fouillant les buissons avec les yeux.
Je me méfiais aussi de ne pas tomber nez à nez avec les parents on ne sais jamais.

Sieg hésitait. Il avait le choix: ou il ne bougeait pas en espérant que la chose se découragerait, ou il partait le plus vite possible, ou il attaquait cette chose. Attaquer une chose dont il ne savait rien, jamais aucun de ses papis n'aurait encouragé cette idée. Fuir pourquoi pas, mais restait l'éventualité que la hcose courrait plus vite que lui, il serait alorsà découvert. En même temps il ne pouvait rester dans ces buissons. Quoique... Sans le moindre frémissement ni mouvement, le louveteau se plaqua sur le sol, et alla au coeur du buisson, des épines lui rentraient dans la peau, mais au moins il était caché. Il voulut poser sa petite patte et poussa un couinement suraigu, une épine plus pointue et plus grosse que les autres venaient de lui rentrer dans le coussinet. Le louveteau se mit à gémir, à glapir sans plus tenir compte de la chose.

Le couinement me fit sursauter et j'était à deux doigts de tomber dans les ronces.
Je n'était en fait qu'à quelques pas du louveteau caché par les ronces.
Moi qui ne le voyait pas et pour cause il était terriblement bien caché.
Je le repéra par ce cri qui l'avait trahi et m'agenouilla devant lui.
Le touchait j'hésitais et lui faire peur l'était encore moins.
Le jeune était entouré de ronces et à mon avis, il devait déjà avoir fait connaissance avec l'une d'elle.

Sieg gémissait de douleur, il vit alors que la chose s'était agenouillé juste devant sa cachette. Ne s'attendant pas à le voir de si près, le loupiot tomba en arrière, par miracle sa culbute le fit rouler hors du buisson. Sieg voulut poser sa patte sur le sol, mais l'épine lui rentrait un peu plus dans la chair quand il voulait poser sa patte. Le louveteau continuait de pleurnicher, paniqué.

Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre qu'il avait une épine dans la pattes.
J'observa une fois de plus les alentours, pas de parents je pouvais y aller.
Sans réfléchir plus longtemps, je sauta par dessus le buisson et rejoint le jeune.
A genoux je l'attrapa et le garda entre mes jambe jusqu'à se que je sorte un chiffon de ma poche.
Je ne prenais pas de risque et lui noua le museau sans serrer celui-ci.
Je le posa sur le flanc prêt à lui enlever cette épine que je ne voyait pas encore.

Les yeux du louveteau s'agrandirent de surprise, il 'navait pas eu le temps de dire ouf qu'il se retrouvait sur el flanc le museau serré dans quelque chose qui sentait beaucoup l'odeur de la chose. Le louveteau remuait convulsivement les pattes mort de peur. Il tendait nerveusement ses petites pattes, inquiet. Qu'allait lui faire subir la chose ? Allait-elle le tuer ? Ou le faire souffrir longuement comme certains animaux jouent avec leur proie ?

Il allait se calmer et pour le moment je cherchait se qu'il me fallait.
Voila bien longtemps que je n'avais plus mon sac mais j'avais bien autre chose.
Ma ceinture qui contenait bon nombres d'accesoires utiles jusqu'ici.
J'en avais encore recourt cette fois ci pour enlever l'épine de la patte.
Du coussinet même pour être plus précis.
Je sortis d'un des étuis un couteau que je posa sur le sol.

Le louveteau observa avec une inquiétude grandissante les faits et gestes de la chose. Quel était cette chose qu'il venait de poser sur le sol ? Le louveteau se mit à gronder en gigotant dans tous les sens. Il lançait des regards noirs à la chose. Le louveteau se calma, il était inutile de gaspiller ses dernières forces, il appela silencieusement sa famille, le louveteau gémissait, de douleur et de détresse. Où était sa famille quand il en avait besoin ?

Encore bien heureusement pour lui, je n'allais pas me servir de ce couteaux.
J'avais tellement de bricoles que j'avais même une petite pince à épiler.
Qui m'avait d'ailleurs bien servis à enlerver les ronces de ce même verger.
Voyant que le louveteau s'était calmé, je saisis fermement sa patte blessé.
A première vu, je ne distinguais à peine l'épine du à la couleur noir du cousinet.
Mais avec le peu de sang qu'il avait au tour, je pu la trouver.
Restait à l'enlever et sa n'allait pas être une partie de plaisir pour le jeune.

(disou hier soir mon internet a planté >.<)

Sieg frissonna lorsqu'il sentit la chose lui attrapper la patte. Le louveteau jetait des regards paniqués autour de lui, papa, maman, où étaient-ils ? Le louveteau était rassuré que la chose ne se serve pas de l'outil posé sur le sol, mais pourquoi diable lui avait-il attrappé sa patte blessé ? Le louveteau fixa la chose avec des yeux mêlant, curiosité, peur et tristesse. Il voulait partir, retrouver la douce chaleur rassurante de sa maman, la protection et le sourire de son papa.

Je tenait toujours aussi fermement la patte d'une main en prenant ma pince de l'autre.
Avant que je ne commence, je croisa le regard du loupiot qui n'était vraiment pas à l'aise.
Je n'était pas le genre d'homme à faire du mal et bien que rapide, cette fois je le devait.
Saissisant l'aiguillon de la pinde, je tira d'un coup sec l'enlevent proprement.
Appuyant de mon pouce sur le cousinet pour faire tomber un peu la douleur.

Un hurlement de douleur s'éleva de la gorge du loupiot. Au même instant la douleur dans sa patte s'était calmée. Jamais il n'avait observé de comportement aussi bizarre chez une chose. Cette chose le capturait, puis lui enlevait ce qui le gênait dans sa papatte, quelle allait être sa prochaine action ?

Mais avec le bandeau autours du museau je n'avais pas entendu grand chose.
Ormis des gémissements plus important jusqu'à se qu'il se calme à nouveau.
Je n'avais rien pour désinfecté mais l'épine gênante n'était plus là.
Je sortis un nouveau chiffon de ma poche et fit comme pour le museau mais à la patte.
Ainsi fait je m'accroupis et dénoua doucement celui de son museau.

Le louveteau claqua plusieurs fois des mâchoires, comme pour se rassurer qu'il avait toujours ses petits crocs. Il se redressa sur ses petites pattes, les muscles tout engourdis. Il posa tout doucement sa patte enchiffoné^^. Quelle agréable surprise, le contact avec le tissu est doux, l'épaisseur du chiffon lui permettait de ne quassiment pas sentir sa patte appuyée le sol. Il se rendit compte à cet instant que la chose était toujours là. Il s'aplatit sur le sol, l'inquiétude le traversant à nouveau.

Je rangea le bout de chiffon de ma poche et la pinde à épiler.
Je n'oublia surout pas de ramasser mon couteau qui était rester au sol.
Recouvrant ma ceinture par mon tee shirt comme pour ne rien paraitre.
Le louveteau enléverait lui même le chiffon quand il en aurait marre.
Pour l'heure je voyait qu'il était appeuré et je recula en restant accroupis.
J'était toujours moins impressionnant dans cette position que debout

Sieg regarda la chose. Dans cette position la chose lui paraissait déjà moins effrayante, Fire ou Blood étaient bien plus impressionnants en taille. La curiosité envhait le louveteau et l'emporta sur sa peur. Il s'approcha tout doucement, centimètre par centimètre s'attendant à une attque.

L'attaquer alors que je venais en quelque sorte de l'aidé ?
Non sa ne serait pas moi et je resta dans ma position les mains sur les genoux.
J'était tout aussi curieux que lui, observant chacun de ses pas et sa réaction.
Il n'existait rien de plus beau pour moi qu'un petit louveteau.
Et bien que j'avais profité de l'absence de ses parents,
j'étais content de voirs qu'il marche mieux.
Signe que s'éait bien l'épine qui devait lui faire atrocement mal.
Je le laissa approcher en silence, sans rien tenter.

Le louveteau continua d'approcher tout doucement, puis voyant qu'il n'y avait pas l'air d'y avoir de danger accélèra le pas. Il arriva devant une truc long et bizarre(une chaussure). Il huma le truc. Il gratouilla de sa papatte, c'était tout dur. Cette chose avait les pattes très dures par rapport à ses pattes avant. C'était peut-être dû au fait qu'il était bipède.

Effectivement mais encore heureux que je portais des chaussures solides.
Déjà drôlement fatigué depuis mon arrivé ici elles n'auraient pas fait long feu.
Me souciant pas de cela je rigolais en essayant en même temps de me faire discret.
Je ne voulais pas faire peur bêtement avec ma voix au louveteau.
Doucement je laissa glisser ma main gauche vers le sol.

D'abord le louveteau recula d'un peau devant cette main. Puis il approcha. Il huma la main, puis la saisit entre ses dents. Il se mit à machouiller la main pour voir comment c'était. Il ne pouvait pas faire grand chose car pour le moment sa maman le nourissait à la bouillie, et il n'avait jamais rien macher lui-même.

Pourtant, les petits crocs pointus étaient loin de passer inaperçus.
Je les sentaient très bien mais je ne craignait pas pour autant.
Je le laissa donc faire pour qu'il me marque bien de son odeur.
Une chose que je trouvais importante pour le louveteau comme pour moi.

Après avoir continué à machouiller la main, le louveteau la relâcha. La chose s'était laissé faire, il ne semblait pas si hostile que ça. Il continua son inspection en s'approchant un peu plus. Il prit appui contre une des cuisses de la chose et se hissa sur la cuisse, el petit louveteau trôna avec fierté pendant quelques secondes avant de glisser et de tomber sur le sol. Il se releva, s'ébroua et retourna sentir la main. L'odeur qui en émanait mêlée à la sienne lui était inconnue. Non il n'avait jamais rien vu de tel.

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