Avant l'espoir...

[Touch]

Je grimpait aveuglement,
la rage au ventre,
la rage au coeur.
Derrière moi ce répendait une odeur.
Un odeur qui venait environt une fois par mois.
Une odeur que je détestait.
J'avancais rapidement.
Une pierre sous une de mes pattes
ce détacha.
Je m'effondra,
pour me redresser,
et continuer mon assencion.
Plus haut,
toujours plus haut.
Les pierres roulaient,
je tombait
pour me relever.

Un loup etait couche tout en haut du volcan. Il y venait beaucoup ces temps-ci parce qu'il etait peu frequente et il pouvait y reflechir en paix. Aujourd'hui, il somnolait a peine lorsqu'un bruit le tira hors de ces reveries. Des pierres qui roulaient et une respiration saccadee. Un loup arrivait. Fenris grogna au fond de la gorge car il avait nulle envie d'etre derange. Le vent etait a contre-sens, portant son odeur vers l'intrus, mais le laissant dans le noir quant a l'identite de ce-dernier. Cela l'agacait encore plus car il ne pouvait savoir si c'etait un ennemi ou pas. Puis il s'avisa: il n'avait presque des ennemis. Seuls deux loups ne l'etaient pas... Mais ca risquait fort peu d'etre l'un d'entre eux... Il releva donc sa tete, tentant d'apercevoir qui venait sans pour autant se lever. Il aurait le temps de se lever si necessaire une fois l'identite du loup connue...

J'entendis un grognement.
Je grogna a mon tour.
Mes chameurs étaient de plsu en plsu fortes.
Je déboula sur le coter,
et commenca a partir sur l'autre versant.
Je trouva une grosse pierres plates.
Je m'installa ici,
a l'abri des autres regards...
Enfin,
c'est ce que je croyait....

Fenris entendit un grognement. L'autre loup avait repondu. Mais sa voix lui etait familiere... Elle avait change, semblait plus enrouee, plus en colere. Mais c'etait sans aucun doute la voix de Touch. Fenris sourit. Visiblement, elle ne l'avait pas reconnu. Eh bien, il lui donnerait sa chance pour se rendre compte qui il etait. Il reposa donc sa tete sur ses pattes apres un bref grognement legerement menacant. Le vent etait toujours a contre-sens et Fenris ne pouvait donc pas distinguer l'odeur de Touch.

Je sentit l'air.
Je distingua l'odeur de Fenris.
Que fesait il ici?
A moin que....
Mais j'était trop faible.
Je lanca juste un faible grognement.

La voix de Touch semblait devenir plus faible. Peut-etre etait-elle blessee. Fenris se leva pour aller voir si elle allait bien. Il ne voulait pas l'etouffer de sa presence, mais il ne voulait pas qu'elle souffre. Il passa par dessus le rebord du volcan et la vit, couchee sur une large pierre plate. D'une demarche souple et lente, il alla vers elle.
"Ca va?"

Je le regarda
"Oui...sa va..."
L'odeur des chaleurs empifliait l'air.
Aucun male n'aurait put résister.

Mais Fenris n'etait pas comme les autres. Il avait appris a s'endurcir contre tout, y compris les chaleurs. Il les remarqua, bien sur. Mais il n'y preta pas grande attention, preferant les bloquer de son esprit. Il sourit a Touch, un sourire soulage. Elle n'etait pas blessee.

[Chui désoler pour le retard...]

Je le reagrda,
et lui sourit.
Il n'était vraiment pas comme les autres.

(Pas si grave, mais t'as des problemes d'internet? Parce que t'es assez souvent absente pendant de longs moments...)

Fenris s'assit, droit et fier, jetant un oeil vigilant sur les alentours.
Il ne baissait jamais sa garde et avait une sorte de possessivite pour l'endroit ou il se trouvait, quel qu'il soit.
C'etait une sorte d'instinct mele a un superbe panache.
Rien, non jamais rien ne le dompterait.
Enfin, presque rien...

[Ba ouai enfaite, mon ordi est hyper vieux, et internet sa saute pensant des fois plusieurs jours, donc c'est trop galère, mais bientot je vais avoir un new ordi!!!]

Je m'assit,
et regarda les orizons.
Une brise souffla,
soulevant mes poils.
Je ferma les yeux,
*et pointa lme museau,
profitant de cette instant.

(

Genial!)

Fenris lui ne ferma pas les yeux.
Il ne fermait les yeux par plaisir que quand il se sentait en parfaite securite, ce qui n'arrivait quasiment jamais.
Mais il se rappelait que, encore jeune, il l'avait fait aussi...

(J'ai l'impression que ca n'avance pas...)

[Moi aussi Rolling Eyes

]

Je m'étira,
puis rejoind Fenris.
Je le regarda avec tendresse,
et m'assit a ses coters,
souffla dans ses poils,
et lui fit une ptite léchouille

(Il nous faudrait de l'action, sinon y'a aucun interet. T'as pas une idee?)

[Ba ta qu'a sentir une odeur de male sur moi, mais c'est celle de Black, mais il le sait pas.....ou autre chose???]

(OK, si tu veux XD)

Quand Touch fut tout pres de lui, Fenris remarqua une autre odeur sur elle.
Un odeur qui lui ressemblait sans lui ressembler...
Mais aussi celle d'un male.
Presque imperceptiblement, Fenris se raidit et un grognement inaudible naquit au fond de sa gorge.
Ce n'etait pas la colere qu'il eprouvait, ou du moins pas seulement.
C'etait l'abyme qui s'ouvriat dans son etre, et le peu de confiance qu'il avait eu en ce moende y disparassait rapidement.

Je le regarda,
un regarda louche.

-Quest ce qu'il y a?

"Rien."
La voix de Fenris etait dure et renfermee, comme elle l'avait ete jadis.
Et toujours, il cherchait a reconnaitre cette odeur, qui lui etait pourtant si familere, sans l'etre vraiment.

"Si il y a quelque chose.Dit le moi"
Je me mit face a lui,
et planta mon regard devant elle.

Fenris esquiva son regard, preferant mettre un place le mur derriere ces yeux.
Il ne voulait pas en parler, mais elle ne semblait pas comprendre.
Mais elle devait bien le savoir, alors pourquoi etait-elle toujours ici?
Pourquoi n'avait-elle pas rejoint son pretendant?...

"Fenris"

Ma voix était tranchante,
comme une lame d'un couteau.

D'un mouvement vif, Fenris releva la tete, son regard brillait de sauvagerie et de farouchete.
Il n'allait pas dire 'Quoi??' mais le mot se lisait dans son geste, dans son regard.
Mais au fond, il ne pouvait lui en vouloir, car la vraie faute etait de lui: il s'etait ouvert.
Encore une fois.
La premiere fois, il s'etait jure de ne plus le faire, et la deuxieme fois aussi.
Alors pourquoi s'obstianit-il a aller accrocher son coeur battu et blesse a une autre?

"Répond moi"

Mon regard était faible,
timide,
peureux,
mais ma voix était coupante,
obligeant une réponse

"Qu'est ce qu'il y a?"

Je le regarda,
et lui fit une ptite leches

Fenris detourna sa tete, comme si elle l'avait mordu,
car meme ses signes de tendresse n'etaient pour lui que des signes d'hypocrisie et de s apropre faiblesse.
"Tu le sais bien."
sa voix etait pleine de defi.

Mon regard s'emplie
de tristesse.
Il n'avait jamais était comme cela avec moi.
Jamais.
Qu'est ce qu'il avait?

"Je suis plus assez bien pour toi, c'est sa? Je ne te plait plus? Dit moi qu'est ce que je t'ai fait? "

» Avant l'hiver (Firefight)
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